Ikram Aliskerov décrit Jun Yong Park comme un adversaire “très, très inconfortable” et “spécifique” | UFC 321

Publié : Lundi 27 octobre 2025 04:48:10 42

Ikram Aliskerov revient sur la résistance de Jun Yong Park. Il dépeint un combattant qui n'arrêtait jamais d'avancer malgré les coups, un nez cassé ou les takedowns, le rendant unique.

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Ikram Aliskerov a remporté une victoire tactique mais difficile contre Jun Yong Park lors de l'UFC 321 , mais son coin était partagé sur la performance. Le combattant daghestanais a révélé que si Khabib Nurmagomedov était "très content" du respect du plan, son entraîneur principal, lui, était "insatisfait".

Il a justifié cette performance contrôlée par le style de son adversaire. "C'était un gars très spécifique et très inconfortable", a expliqué Aliskerov. "Tu le touches, il avance. Tu lui casses le nez, il avance. Tu le mets au sol, il se relève et avance." Conscient de l'endurance de Park, son plan était "de le déjouer et de gagner", sans "forcer la finition". Il a également nié toute fatigue, assurant être en "très bonne forme", mais simplement confronté à un style qu'on ne peut simuler en salle.

Concernant la performance, Aliskerov a admis que son coach principal "attend toujours plus" et que cette critique était positive. Il a aussi souligné sa connexion avec son coin : "C'est une de mes qualités, j'écoute vraiment bien ce que mon coin me dit." Il a expliqué que sa préparation avec Khabib avant le combat leur avait permis d'être parfaitement synchronisés.

Aliskerov a longuement abordé la récente polémique avec Khamzat Chimaev, qui avait mal réagi à une de ses interviews. Il a tenu à clarifier la situation : "Khamzat a mal compris." Il a rappelé qu'il n'avait jamais demandé de revanche, jugeant la question "absolument pas pertinente" vu l'écart actuel dans leur carrière. "Où suis-je et où est Khamzat ? Il est le champion. Il y a un mur à franchir avant d'arriver à lui."

Il a précisé que ses propos concernaient une question hypothétique sur un remplacement de dernière minute pour le titre. "Il faut être idiot pour refuser un combat pour le titre en court préavis", a-t-il martelé, peu importe l'adversaire. Aliskerov a insisté sur sa relation "chaleureuse" et "fraternelle" avec Chimaev, demandant aux médias de cesser ces questions qui créent des tensions "douloureuses" et inutiles.

Pour la suite, maintenant qu'il a franchi l'obstacle Park, Ikram Aliskerov vise de gros noms. Il a cité deux cibles en particulier : “Paulo Costa, par exemple, ou une revanche avec Whittaker”.