Juan Diaz ne manque pas d'ambition et cible déjà les sommets | DWCS 86 Publié : Mercredi 15 octobre 2025 12:48:42 86 Après avoir éteint Won Il Kwon, le Péruvien a affiché ses objectifs. Il cite Merab Dvalishvili et Petr Yan comme des combats de rêve, affirmant être venu à l'UFC pour marquer les esprits et décrocher le titre. Contender Series 2025 - Week 10 "Quelle manière d'entrer à l'UFC !". Juan Diaz peinait encore à y croire, mais son coup de coude retourné spectaculaire face à Won Il Kwon a non seulement fait le tour du monde, mais lui a surtout offert un contrat avec la plus grande organisation de MMA. Dans son interview d'après-combat, le Péruvien est revenu sur cette soirée qui a changé sa vie, un rêve devenu réalité. Ce KO, déjà viral sur les réseaux sociaux, n'est en rien le fruit du hasard. "J'ai tellement travaillé ce coup de coude", a-t-il expliqué. "Je le répète à chaque séance de striking, à chaque sparring. Je le tente, et si ça passe, ça passe." Cette fois, c'est passé de manière magistrale. Il a d'ailleurs confié avoir parfaitement étudié son adversaire et ne s'être senti en danger à aucun moment, attendant simplement de voir une ouverture pour la saisir. Au-delà de l'exploit personnel, cette victoire a une saveur particulière pour Juan Diaz. Il se voit comme un représentant de toute l'Amérique latine. Ayant passé beaucoup de temps au Pérou, en Argentine et au Mexique, il affirme porter en lui "le sang guerrier" de ces pays. "J'espère que cela ouvrira plus de portes, car il y a beaucoup de très bons combattants péruviens. Toute l'Amérique latine a un potentiel énorme", a-t-il déclaré. Désormais, "Pegajoso", son surnom, est tourné vers l'avenir. Ambitieux, il n'a pas caché son désir de faire ses débuts dès le mois de décembre, sur la même carte que son ami Brandon Moreno à Las Vegas. Il se dit prêt à affronter n'importe qui, mais cite le champion Merab Dvalishvili et l'ancien champion Petr Yan comme des combats qui le font rêver. Pour l'heure, il savoure ce succès qui vient récompenser des années de travail. "Quand j'ai commencé, l'UFC me paraissait très, très loin", a-t-il avoué. "Maintenant que j'en fais partie, cela me procure une immense fierté, beaucoup de bonheur et de sérénité. Mais cela ne s'arrête pas là, ce n'est que le début." Voir aussi les articles suivants : |
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