Dana White écarte l'idée de voir Jon Jones combattre lors de l'événement UFC à la Maison-Blanche Publié : Lundi 21 juillet 2025 08:30:59 227 Le président de l'UFC a clairement exprimé ses doutes quant à la fiabilité de la star. Il met en avant les risques élevés liés au comportement imprévisible de “Bones” pour une carte aussi prestigieuse et symbolique que celle-ci. L'éventualité d'un retour de Jon Jones dans l'octogone, spécifiquement pour une potentielle carte organisée par l'UFC à la Maison-Blanche, a rapidement agité la communauté des arts martiaux mixtes. Alors que l'athlète lui-même semblait ouvrir la porte à cette idée après avoir annoncé sa retraite, la réponse du président de l'organisation, Dana White, ne s'est pas fait attendre et a pris la forme d'une fin de non-recevoir. Cette situation génère une frustration considérable chez de nombreux partisans. Ils gardent en mémoire les longs mois durant lesquels Jon Jones a semblé éviter activement une confrontation avec le champion intérimaire des poids lourds, Tom Aspinall. Le fait qu'il envisage un retour pour un événement de prestige tout en ayant esquivé un défi sportif majeur crée un sentiment de confusion et de déception. Pourtant, nul ne peut nier que la présence de Jones apporterait une puissance médiatique idéale pour une telle occasion. C'est au cours de l'interview d'après-combat de l'UFC 318 que Dana White a abordé le sujet. Interrogé sur la possibilité de voir "Bones" combattre lors de cet événement spécial, sa réponse fut directe et sans équivoque, mettant en lumière des préoccupations qui dépassent le cadre sportif. La raison principale de ce refus est le manque de confiance envers l'ancien champion. "Je ne peux tout simplement pas risquer de le placer dans des positions importantes (en main event par exemple), dans un moment important, et que quelque chose se passe mal, surtout pour la carte de la Maison-Blanche", a déclaré White. Cette affirmation montre que la crainte ne réside pas dans les performances de Jones, mais bien dans son imprévisibilité et les risques extra-sportifs qu'il représente pour un événement d'une telle portée symbolique. De manière plus diplomatique, Dana White a également tempéré toute spéculation en rappelant l'échéance lointaine de ce projet. "Ce combat est dans un an", a-t-il précisé. "Le paysage aura tellement changé d'ici le 4 juillet prochain, qui sait ce qui va se passer. Qui sait qui sera sur la carte, quel sera le main event ou qui détiendra toutes les ceintures. Cela ne vaut même pas la peine d'y penser maintenant." Cette déclaration permet de reporter la discussion, tout en maintenant sa position de prudence. |
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